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    • Laetitia Pansanel-Garric, compositrice du superbe score de ’Hola Frida’, nous a accordé un entretien

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    Laetitia Pansanel-Garric, compositrice du superbe score de ’Hola Frida’, nous a accordé un entretien

    16 avril 2025 - 10:17

    ‘HOLA FRIDA’, dont nous avons parlé sur Cinémaradio, c’est d’abord un très beau film et ensuite l’une des plus émouvantes musique composée pour un film d’animation. Certes le sujet - la jeunesse de Frida Kahlo - était déjà en soi porteur d’un message fort, celui de la résilience face à la maladie, et esquissait ce qui serait le combat de sa vie, celui d’une femme artiste, d’une femme indépendante et anti-conformiste. 
    Quelle couleur, quelle palette, prendrait la musique qui accompagnerait les images ? Laetitia Pansanel-Garric nous a permis de découvrir une composition qui la hisse au niveau des plus grands. Après avoir chroniqué sa musique, la chance nous a été donnée de pouvoir l’interviewer.

    PETITE INTRO…

    Le hasard fait parfois bien les choses. Nous n’avions pas programmé d’interview avec notre compositrice Laetitia Pansanel-Garric (nous disons ‘notre’ parce qu’elle est française… cocorico), pour sa superbe partition sur le film d’animation HOLA FRIDA. Nous étions enthousiastes (retrouvez les articles sur le film et la BO), ravis d’avoir encore - après deux belles compositions liées (si on ose le mot) à l’animation, celles de Olivier Daviaud et Pascal Le Pennec - une nouvelle et très belle incursion musicale française (on ne le répètera jamais assez) dans cet univers spécifique, fruit de la créativité et du travail de Laetitia Pansanel-Garric. 
    Comme on a coutume de le dire, jamais deux sans trois, et après avoir découvert un film magistral et le score éblouissant qui l’accompagnait, que manquait-il à notre bonheur ? Le temps, fort probablement !
    Notre ami David-Emmanuel (plus connu sous le nom de BOvore) se trouvant à Marseille à l’occasion du festival international MUSIC & CINÉMA et allant (coïncidence ?) voir le film HOLA FRIDA, m’a proposé d’essayer de la rencontrer.
    Tout ça pour que vous compreniez que le bonheur d’avoir au bout du fil une compositrice, ravie de l’article que nous avions pu écrire, et de pouvoir envisager avec elle un entretien en ‘live’ qui serait mené par David, tenait du petit miracle.

    Merci donc à Laetitia Pansanel-Garric de nous avoir reçu (alors qu’elle était occupée à travailler sur un score !) ; et à David pour avoir récupéré au vol les questions, pris sur son temps avec son photographe afin de mener à bien cette interview. 

    PhotoEntretien Laetitia Pansanel-Garric.jpg (730 KB)


    L’ENTRETIEN…

    Vous composez sur ’Hola Frida’ une musique qui malgré ses indéniables références, sa coloration ‘sud-américaine’ par moment, ne sombre ni dans le cliché, ni dans la facilité. 
    Vous travaillez le côté sombre et la lumière qui paraissent intimement liées à la vie (la jeunesse) de Frida Kahlo. Etait-ce difficile d’établir cette distinction subtile, encore plus lorsqu’on parle de film d’animation ?

    En fait ça s’est fait naturellement, de par l’utilisation de l’orchestre dans ses moments de rêves - il y a aussi de l’orchestre dans l’espace de ‘vie réelle’, dans les moments comme ceux du marché, quand elle passe du temps avec ses camarades - et quand elle commence à tomber malade, à être attirée dans ses pensées et dans ce monde parallèle où elle voit son alter-ego ; je me suis servie de l’orchestre pour générer cette matière musicale plus surréaliste, imprégnée de colorations qui ‘habillent’ les décors et qui rappellent certaines œuvres de Frida Kahlo.
    Alors c’était assez facile de décrire musicalement cet espace, parce qu’on voit dans les décors une inspiration très forte, de son monde… de ses tableaux… qui décrivait sa réalité. 
    Elle disait d’ailleurs que ce n’était pas surréaliste, mais bien ‘sa’ réalité ! … cet univers un peu écorché. 
    Je m’en suis servie, parce que ça m’a suggéré ce qui fait l’impressionnisme en musique, un langage plus riche, où l’on entend qu’on est dans une histoire à l’intérieur d’une histoire. On est dans le récit de la vie de Frida, mais elle même parle de son enfance, comme dans une espèce de mise en abime que j’ai trouvé assez intéressante, assez naturelle.


    S’agissant d’un film d’animation, fallait-il veiller à ne pas trop accentuer la noirceur de ses épreuves, à trouver un équilibre avec le côté lumineux, notamment par rapport au public, assez juvénile, auquel le film est destiné ? Est-ce que l’écriture de la musique a été un peu influencée pas son cœur de cible ?

    C’est une très bonne question, ! Alors oui, en fait il s‘agissait de ne pas effrayer les enfants. En musique quand on veut générer une sensation de peur et de tension, on utilise les dissonances, et on peut être très violent avec les percussions écorchées, aller très, très, loin. Mais là il s’agissait de faire peur à des enfants, suggérer qu’il y a une tension, tout en leur donnant une lueur d’espoir. Et donc j’ai utilisé un langage harmonique pour certains passages quand la Muerte apparait, qui fait qu’on serait comme dans du Bernard Herrmann. Il y a des colorations ‘Hermanniennes’ qui rappellent que c’est une peur contenue, il s’agissait de rester dans un ‘récit à hauteur d’enfants’ ! J’utilise des septièmes, des demi diminuées (accords demi diminuée), des arpèges qui rappellent La Mort Aux Trousses, ou Psychose. Pas de percussions descriptives, c’est vraiment dans l’harmonie et le fait d’avoir ces arpèges que je peux colorer, et où je peux générer une densité qui évoque la peur… Bien sûr qu’il s’agit de la mort, mais il ne faut pas effrayer les enfants !


    Et justement votre composition est très évocatrice, empreinte de poésie et d’élégance ! Comment avez-vous travaillé les orchestrations ?

    Ha… alors en musique de film, on fait des maquettes, pour cerner l’idée, ce qui permet d’avoir tous les ingrédients qu’on souhaite avoir à l’image. Dans le cadre de cette partition - en fait il y a plusieurs techniques, selon les cues - je fais des maquettes pas nécessairement hyper détaillées, d’autant que je savais que certains passages comme les morceaux impressionnistes ne donnerait rien en maquette ! J’avais prévenu le réalisateur en lui disant que j’allais réellement orchestrer et les faire émerger comme ça, … Pour d’autres comme le morceau de fin où j’ai recopié la maquette, l’univers est assez modal, assez ethnique, j’avais quelque chose qui ressemblait assez au morceau final. Mais quand il s’agit de bien orchestrer de tout réarranger, il y des choses qui se font à la partition ; par exemple quand des fois on prend les cuivres, on les met là, et après on redispose les harmonies. Il y a eu une phase de choix qui s’est faite sur le logiciel, un peu comme pour un sketch, en animatique, et après j’ai orchestré sur partition.


    Dans la continuité de cette question, comment se sont déroulées les sessions d’enregistrement avec le Budapest Symphony Orchestra, il s’agissait d’un budget conséquent qui vous a permis d’avoir la couleur et la densité orchestrale que vous souhaitiez ?

    Très vite ! On a fait ça sur un jour et demi, sachant que j’avais un second film que j’enregistrais le premier jour. Je ne sais pas si je referais de la même façon à vrai dire, ça s’est très bien passé avec le chef d’orchestre François Rousselot qui est vraiment compétent ; et c’est lui qui a beaucoup donné dans la BO, parce que j’ai un peu joué avec le feu ! 
    J’ai l’habitude de travailler avec un orchestre universitaire et ce qui est beau c’est de faire vivre les tempos, et quand on fait vivre, on interprète ; alors j’ai interprété en orchestrant et en jouant mes tempos, ça bouge beaucoup et on avance comme ça… ! Mais ça, à diriger c’est une plaie ! 
    Donc je ne lui ai pas fait un cadeau, parce qu’en fait il y avait les cordes un jour et les vents un autre jour. Il faut suivre parce que le lendemain si on ne cale pas les bois de façon identique, c’est mort. Je pense lui avoir fait une frayeur, mais ça c’est très bien passé.
    Au niveau budget c’était un peu ‘short’, une piste n’a pas été enregistrée comme je le souhaitais, avec les bois, mais comme c’est bien maquetté on ne l’entend pas ; ce qui m’a perdu moi, c’est la chanson ! 
    Pour la chanson, pareillement, j’ai joué avec les tempos, peut-être un peu trop, mais c’est ce qui fait la beauté de l’interprétation avec les accélérations, les ralentissements ; et ça en chanson ça prend du temps à enregistrer, ça fatigue les musiciens et ça me prend du temps sur le ‘temps de score’. Donc à l’avenir je facturerais une séance juste pour la chanson, parce que c’est un budget à part, avec trop d’enjeux, trop de pression… 
    Mon regret c’est de ne pas avoir vu cette difficulté-là arriver, mais c’est passé. Peut être qu’une session de 3 heures en plus ça n’aurait pas été du luxe !


    On constate - nous nous en sommes souvent fait la réflexion - la grande qualité et l’originalité des scores écrits pour le cinéma d’animation, ici en France ! 
    Certains parlent de ’touche’ française, d’autres évoquent notre culture, notre rayonnement musical… le classique moderne, le moderne ou les contemporains… Vous aviez des ‘modèles’, des rythmes ou des influences ?

    Alors, oui, bien sûr. J’ai fait une synthèse de ma culture Debussy, Ravel, on l’entend dans les phases de rêves, parce que c’est un univers qui m’évoque le bonheur et qui est assez réaliste en fonction de la période. J’étais à-peu-près dans les clous, dans ces références-là. Le mouvement de la Mer de Debussy ça m’habite, on entend peut être ces mouvements de tempos, - on parlait d’Herrmann tout à l’heure -, mais c’est complètement inconscient, mais il y a certainement des cadences de Dvorak, un romantique, avec des septièmes diminuées pour suggérer la peur, un langage un peu désuet qui permet de suggérer une tension un peu subtile, qui viennent peut-être d’une sonate pour violoncelle ou dans Symphonie du Nouveau Monde ; et pour le score folklorique, j’ai tenu à m’inspirer des clés rythmiques qui sont inhérentes aux musiques mexicaines qu’on entend, des mouvements rythmiques très particuliers qui font qu’en fait on respecte une inspiration, une culture musicale, et là je me suis totalement inspirée de Aguilar par exemple.


    Et comment justement vous avez donné cet aspect-là, cette coloration un peu mexicaine ? Ça été l’objet de discussion avec le réalisateur ?

    Alors oui, il tenait à ce que ça reste authentique. Mais on avait besoin de souplesse pour sortir du simple folklore, je fais rentrer l’orchestre à la toute fin : je ne suis pas au marché, et je suis au Mexique, mais je vais vous raconter l’histoire de Frida ! Et ce ‘je vais vous raconter l’histoire de Frida’, c’est l’orchestre qui nous le dit en rentrant, en apportant cette petite information supplémentaire qui est de dire qu’on est dans un film, et qu’il s’agit de cette petite fille qui ne va pas juste être mexicaine, mais être une artiste pleine de vie, pleine de résilience. Ça nous donne une information supplémentaire, mais avec un thème folklorique ‘lambda’, on n'aurait pas eu cette souplesse-là. Et ce thème-là m’appartenant j’ai pu le conjuguer et le décliner. À un moment donné elle revient à l’école, elle a peur, peur qu’on se moque d’elle, et on entend dans le thème ses hésitations et ses doutes, mais il y a sa personnalité avec cette guitare toute seule ; et elle y va, c’est elle, mais elle y va à tâtons… 
    Ce qui a de génial en musique c’est que selon l’harmonisation on donne une info, on aide, on guide un peu - ici les enfants dans le cadre du film. On va aider à percevoir et à comprendre ce qu’elle ressent, parce que Frida ne parle pas, on la voit, et elle doit se reconstruire car c’est toujours Frida.
    A la toute fin quand elle parle avec son alter-ego, c’est le même thème mais complètement harmonisé différemment, elle se prépare à combattre…


    Oui, là vous êtes sur deux registres antagonistes, l’un sombre et l’autre élégiaque ! Vous êtes éminemment évocatrice et jouez sur l'opposition sur ces « morceaux finaux », avec L’Accident, Combat contre la Muerte.

    Apparaît un thème qu’on avait dans la chanson à la toute fin, qui m’est venu au moment où je composais avec Olivia Ruiz la chanson, une espèce d’accord qui éclate avec les trompettes dans les aigus, pour faire du sens avec le film, j’ai puisé le thème dans la chanson, il y a les mêmes intervalles, les mêmes riffs* en fait ; mais là c’est la Frida adulte qui va conclure.

    * Hook Vocaux, un motif bref censé capter l’attention de l’auditeur, une sorte d’accroche, une tournure 


    On constate que vous faites voyager le spectateur dans une dimension temporelle (et pas seulement géographique), où vous distillez par petites touches cette légèreté liée à l’enfance, la tension et le drame avec sa maladie, et ses plongées dans un monde onirique. 
    Là votre écriture privilégie le ‘beau’, pas d’effets, pas de ruptures, une grande fluidité dans les phrases et la composition… On retrouve de l’enthousiasme, puis vous vous attardez sur le poétique et le presque ‘magique’ (avec Le Rêve, La fresque). 
    Ce sont des éléments complexes à conceptualiser ?

    Pour le coup, j’ai eu un peu de temps, même si c’est allé très vite au niveau de la finalisation, mais avant qu’on se mette vraiment sur les dernières scènes, entre mai et juin j’ai pu penser aux thèmes. Le thème de Frida je l’avais déjà intégré, j’ai pu le ‘roder’, j’ai pu changer les intervalles, en faire un thème intime, lyrique, dramatisé, lumineux… 
    Le fait est que quand on a la main sur cette matière et qu’elle est devenue naturelle, je finis par devenir une improvisatrice, je la colore, je la pose à l’image que ce soit une guitare ou pas, dans le cinéma d’animation ça a du sens. La scène finale a été dure à composer, d’abord parce qu’il y a l’accident, et ça n’arrête pas de faire des sortes d’ellipses,  : Frida est avec la Muerte affaiblie par terre, puis dans son propre coma, puis elle part encore plus profondément dans une phase d’échange avec son alter-ego, puis de retour avec la mort. On ne cesse de faire des va et vient, et ça c’est une vraie technicité à comprendre dans le discours. Le réalisateur m’avait aidé un peu quand même, il avait fait un scénario avec une piste temporaire, les images n’étaient pas du tout finies, mais il avait fait un montage du son, m’indiquant les cuts - je savais qu’il y aurait des dialogues - et je devais suivre ce montage excessivement millimétré. Il m’avait donné une piste des voix d’enfants, de voix éthérées, pas d’enfants nécessairement, des sons, du souffle, pour suggérer ce caractère élégiaque.


    Travailler sur ce superbe film, c’était pour vous un enjeux ?

    Ah oui, absolument. D’abord c’est une chance immense dans une carrière d’être sur un projet comme celui-ci. C’était un rêve pour moi de travailler sur un film d’animation. J’ai saisi cette opportunité de faire de la belle musique, de montrer ma sensibilité, mes goûts et c’est souvent un parcours du combattant afin de trouver une zone de liberté, mais là ça c’était tout naturel, avec le réalisateur, les musiciens… la possibilité de discuter musique et technique, d’échanger et de se compléter. 
    Comme à un moment où le réalisateur a juste évoqué une musique folklorique, j’ai fait un thème et variations. Le thème semble voyager dans différentes tonalités, différentes couleurs, tempos, on entend le temps qui passe, et on perçoit les différentes étapes du personnage. 
    Donc ça avait totalement du sens de faire ça, et quand le réalisateur a entendu ça, il a dit : ‘je suis trop content, ça me rappelle une scène dans Up’. Je connais ce morceau de Michael Giacchino, mais je suis également une compositrice classique, donc je connais les formes et effectivement, cet effet là où le temps passe où on observe les deux personnages, c’est d’une force narrative incroyable.  


    Comment percevez-vous cet univers, le cinéma et la musique, alors qu’il nous a toujours paru évident qu’une femme ou un homme composaient finalement de la « même façon » ; et que bien souvent les femmes restent peu représentées ?

    Depuis quelques années les choses commencent à évoluer, ça fait vraiment plaisir. Ça me rend triste ces constats, je suis même au cœur de ces sujets… L’animation c’est même encore pire, puisque je suis la troisième femme en France à composer sur ce genre, la première c’est Sophie Hunger avec La Vie d’une Courgette, la seconde c’est Florencia Di Concilio pour Calamity…
    L’animation c’est particulier, mais je pense que c’est dû aussi à des habitudes de travail et c’est culturel, donc ce n’est pas malveillant. C’est ma volonté d’avoir travaillé avec mon éditeur 22D, ils sont très présents dans le monde de l’animation, et je souhaitais leur montrer que j’en avais envie, alors j’ai provoqué cette collaboration.
    Culturellement on a besoin d’avancer un peu pour que ça change d’avantage, mais c’est vrai qu’il n’y a pas de musique de filles ou de garçons… C’est terrible j’ai déjà entendu ça ! Les producteurs et les réalisateurs font bouger les choses, mais au final l’objectif reste de trouver quelqu’un qui convienne pour le projet. Que cette personne ait suffisamment l’envie d’épouser le projet et l’accompagne.
    En étant juste un petit peu plus visible maintenant, en enseignant dans un master à Lyon à l’Université, je sais qu’en étant là j’inspire des jeunes compositrices qui arrivent sur le marché. Et avant il n’y en avait pas, j’en ai fait les frais. Ça ne faisait pas vendre de parler des femmes, le regard des journalistes ne devenait pas brillant à l’idée d’en parler, et quel que soit les milieux, la littérature, la peinture, les Arts…


    Une dernière question sur vos projets, vos envies ? Ce que vous aimeriez faire, ou quels genres vous aimeriez traiter ?

    J’aime beaucoup les films d’animation, mais j’aime aussi les challenges. Je suis actuellement sur un autre film d’animation, j’aime le suspense, la tension, les films d’époque… mais également le fantastique.

    David & Sylvain, avril 2025


    Questions et transcription : Sylvain
    Relecture et corrections : David-Emmanuel
    Crédit photos : Vincent Marchadier

    Tous nos remerciements à 22D Music pour leur collaboration, leur investissement et leur valorisation de la musique.
    Merci à l’équipe du Festival International MUSIC & CINÉMA pour son accueil.

    Hola Frida (février 2025)
    Musique composée par Laetitia Pansanel-Garric
    Label : 22D Music
    Ttp: 47:42
    01. Hola Frida (Version Française) (Laetitia Pansanel-Garric & Olivia Ruiz) 3:39
    02. Récit d'enfance sur un air de Llorona 3:32
    03. Dessin au vent 1:22
    04. Le peuple des nuages 1:37
    05. Une belle journée 1:03
    06. Le rêve 4:55
    07. Les Zapotèques 1:04
    08. Souvenirs 1:54
    09. La Muerte 1:06
    10. La maladie 1:46
    11. Frida retourne à l'école 0:50
    12. Patte de poulet 1:59
    13. Une femme déterminée 2:21
    14. Envol du grand aigle 1:10
    15. L'entraînement 2:26
    16. Le ruban 0:53
    17. Célébrations 1:50
    18. La course 2:16
    19. La preparatoria 1:04
    20. Découverte de la fresque 0:52
    21. L'accident 4:16
    22. Combat contre la Muerte 2:08
    23. Hola Frida (Version Espagnole) (Laetitia Pansanel-Garric & Olivia Ruiz) 3:39


    Lien : https://www.cinemaradio.net/news/hola-frida-le-film-danimation-de-karine-vezina-et-andre-kadi-est-sorti-sur-nos-ecrans-rayonnant-bouleversant-et-beau-precipitez-vous-872

    https://www.cinemaradio.net/news/laetitia-pansanel-garric-a-compose-la-musique-de-hola-frida-quand-la-poesie-et-lelegance-dune-jolie-mise-en-scene-riment-avec-de-belles-orchestrations-873

    Liens  Scores 22D Music :
    https://www.cinemaradio.net/news/pascal-le-pennec-signe-slocum-moi-la-nouvelle-incursion-dun-compositeur-discret-dans-lunivers-poetique-du-cineaste-jean-francois-laguionie-862

    https://www.cinemaradio.net/news/olivier-daviaud-nous-livre-avec-larmee-des-romantiques-une-composition-remarquable-et-inspiree-861

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